Agenda

Réservation

17 février

Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


10 mars

Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


17 mars

Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


24 mars

Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


31 mars

Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


07 avril

Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


28 avril

Séminaire

Séminaire ENS «MAKE IT NEW! TRADUIRE LA POESIE»

  • Horaire : 13h30
  • Durée : 2h
  • Public : Adultes

3 février : Roland Béhar (ENS), « Traduire à la Renaissance ».
10 février : Xavier Luffin (Université libre de Bruxelles), « Traduire la poésie arabe ancienne »
17 février : Mandana Covindassamy (ENS), « Goethe, la littérature mondiale en traduction »
3-7 mars : PSL week, « Chansons de femmes du Moyen Âge : résidence hugolienne de traduction poétique » (voir ci-dessous)
10 mars : Vincent Broqua (Université Paris 8), « Quand traduire, c’est faire ».
17 mars : Xiaoxuan Lyu (ENS, doctorante), « Michèle Métail, poète et traductrice du chinois »
24 mars : Pascal Poyet (poète, traducteur, éditeur), « Traduction et performance : retraduire les sonnets de Shakespeare »
26 mars : Pascal Poyet, « La table qui tourne », Bibliothèque des lettres de la l’ENS
31 mars : Laetitia Tabard (Université du Mans) et Nathalie Koble : « Joutes poétiques médiévales : traduire le dialogue »
7 avril : Amets Arzallus Antia (bertsolari) et Roland Béhar (ENS) : « Compétitions poétiques contemporaines basques ».
28 avril : séance de restitutions

3-7 mars 2025 « Résidence de traduction poétique ENS-PSL »

L’objectif de la « Résidence de traduction poétique ENS-PSL » est d’initier les participant.es à la traduction poétique, à partir d’un corpus cohérent. Cette immersion d’une semaine permettra d’approfondir et de mettre à l’épreuve les acquis théoriques du séminaire « “Make it new !”. Traduire la poésie (textes, histoires, théories) », en faisant l’expérience d’une traduction poétique collective avec des traducteurs et traductrices professionnel.les, dans le sillage des résidences de traductions arlésiennes des années précédentes, en partenariat avec ATLAS et le CITL à Arles.
Voir, pour un descriptif des années antérieures, les comptes rendus des « arlésiennes » : https://www.translitterae.psl.eu/arlesiennes/

En 2025, la résidence se tiendra pendant la seconde PSL week (3-7 mars 2025), à la Maison Victor Hugo à Paris. Elle proposera une traduction à partir d’un corpus de chansons de femmes médiévales en plusieurs langues : les participant.es traduiront à partir du galégo-portugais, de l’ancien français et de l’arabe, avec Roland BEHAR, Nathalie KOBLE (ENS-PSL, ITEM) et Xavier LUFFIN (traducteur de l’arabe, professeur de langue et littérature arabes à l’Université libre de Bruxelles).

Les travaux de l’atelier se donneront pour objectif d’élaborer une anthologie à ce jour inédite, multilingue, de poésie lyrique médiévale attribuée à partir du XIe siècle à des voix féminines. Cette poésie se déplace de langue en langue, de la poésie arabo-andalouse aux Frauenlieder des Minnesänger allemands, en passant par les chansons de toile en langue d’oïl et d’oc et les chansons d’ami galégo-portugaises. On se souviendra également des wineleodas anglo-saxons, plus anciens encore. Ces poèmes sont tous énoncés par des femmes. S’ils s’inscrivent dans des contextes politiques et culturels différents, ils ont des points de rencontre, thématiques et formels : l’expression du sentiment amoureux, joie partagée ou plainte, repose sur l’évocation de scènes topiques (la femme à la toile, malmariée ou fiancée, la conversation entre amies, entre mère et fille, l’appel à la mer, l’évocation d’un paysage, d’un cadre, la naissance de l’aube…) ; le poème engage une collectivité et une mémoire commune, retenue par la présence de refrains et par un moule strophique simple et répété, souvent amplifié par l’évocation d’un chœur ou d’une danse, qui engage le corps et suppose une performance et un jeu.

Les élèves et étudiant.es qui candidateront pour la résidence sont susceptibles de venir de tous les départements de l’ENS et des autres établissements de PSL. La maîtrise simultanée des quatre langues – arabe classique, langues d’oc et d’oïl, galégo-portugais – n’est aucunement un prérequis pour pouvoir s’inscrire : la connaissance de l’une d’entre elles sera suffisante, les travaux de l’atelier viseront à rendre accessibles les textes des autres et à envisager collectivement la traduction de l’anthologie.
Les cinq jours de travail se composeront de dix demi-journées de 3h, du lundi au vendredi. Le vendredi soir sera organisée une lecture publique des résultats à la Maison Victor Hugo. Les résultats de l’atelier féront l’objet d’une publication en ligne sur la page « Make it new ! » de l’équipe Manuscritures et Translations, au sein de l’ITEM.

Autres dates de l’activité :


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